Les méthodes agiles peuvent-elle être engagées et engageantes ? Discussion avec Elyezer Ducros, agiliste convaincu et responsable :-)
Bonjour Elyezer ! Pour commencer peux-tu te présenter à nos lecteurs stp ?
Oui bien sûr ! Initialement j’ai fait des études pour devenir professeur d’Allemand ! Mais avoir des classes de 30 à 40 élèves, laisser les dyslexiques derrière soi parce qu’on ne peut prendre le temps de faire correctement son travail... ce n’était pas ce que je recherchais.
J’avais déjà un background autour de l’informatique et ça m’attirait. J’ai fait une reconversion avec le CNAM pour devenir développeur applicatif. J’ai découvert l’agilité à peu près au même moment. Je me suis dit « c’est plein de bon sens et il y a un boulot qui permet de lier le bon sens à l’action ! ». C’était déjà ma philosophie, ma manière de travailler donc je me suis naturellement orienté vers cet univers. J’ai fait du développement quelques années en étant en parallèle Scrum Master et maintenant je suis coach agile.
Comment définirais-tu l’agilité ?
Pour moi l’agilité c’est comment remettre l’humain au centre de l’activité. On part des humains, on travaille sur le produit, on essaie de rendre le tout cohérent et efficient, de délivrer de la valeur pour le client mais aussi pour l’équipe.Peux-tu nous en dire plus ton rôle de coach agile chez Klanik ?
J’interviens auprès des équipes pour mettre en place l’agilité. Cela dépend de nos clients, cela peut être avec une équipe ou plusieurs, et cela ne concerne pas que les développeurs ! J’accompagne aussi des équipes RH ou des organisations complètes. Je viens voir comment ça se passe et je pose beaucoup de questions ! La seule posture haute que j’adopte c’est celle du cadre et des valeurs agiles. Je suis là pour garantir ce cadre, la bienveillance, la transparence, etc. Je peux arriver à tous moments. Le but n’est pas de construire à la place du client mais avec lui !En tant que coach agile on est des sherpas, c’est-à-dire que l’on connait le relief, on porte le matériel… mais la photo en haut de l’Everest ce n’est pas notre objectif, c’est celui du client !
Quant à la sortie du projet, lorsque j’estime que je n’apporte plus de valeur au client, je le lui dis et il décide de la suite. Mon accompagnement s’arrête lorsque l’équipe / l’organisation est autonome et n’a plus besoin de moi.
As-tu déjà refusé une mission ?
Oui, ça m’est déjà arrivé de refuser une mission car je trouvais que les valeurs n’étaient pas les miennes. Chez Klanik, on est très vigilants là-dessus. C’est une ESN très centrée sur l’humain, qui a axé son modèle sur le « human 1.0 ». On cherche à faire en sorte que les consultants soient bien dans leurs missions, leur travail. Cela passe en priorité par rapport au reste. On a des profils atypiques dont une cinquantaine d’agilistes sur 750 collaborateurs.Pourquoi t’intéresses-tu à l’éco-conception ?
Je fais partie de la Ligue de Protection des Oiseaux depuis tout petit. J’adore la nature et la faune de manière générale, j’y suis particulièrement sensible. Au fur et à mesure des années, j’ai vu les impacts et l’évolution des populations d’oiseaux qui déclinent. Donc je suis au fait des enjeux environnementaux et de biodiversité depuis tout jeune !J’ai longtemps fait une distinction entre monde du travail et valeurs personnelles. Mais j’ai découvert une association (le réseau FEVE) qui regroupe des salariés qui ont envie d’agir pour les aider à remettre du sens dans leur travail et à changer leur écosystème de l’intérieur. Dans ma précédente entreprise, je suis devenu ambassadeur RSE un peu par hasard. J’avais 1 journée par mois pour mener des actions sociales et environnementales. Donc je me suis lancé comme ça ! J’ai pu mener de petites actions comme la mise en place d’un challenge vélo, la suppression des gobelets, la réparation des vélos, l’organisation d’une clean walk, etc.
Et puis j’ai compris que j’étais un citoyen avant d’être un salarié et que j’avais mon mot à dire au sein de mon entreprise.
Souvent lorsque l’on met en place une action on se rend compte que ce n’est pas si vertueux que ça. Par exemple, utiliser Ecosia ou un autre moteur de recherche de ce type… en fait c’est une sur-couche de Google ! Donc on nous incite à faire des recherches pour planter des arbres alors qu’en réalité la meilleure solution c’est de faire moins de requêtes et par exemple de sauvegarder nos favoris. Maintenant, je suis vigilant et je m’entoure d’experts qui savent. Je creuse via plusieurs sources d’infos. J’ai découvert par exemple les challenges de Ma Petite Planète. A chaque défi ils donnent une biblio pour aller plus loin, c’est réellement très utile.
Bref… donc j’ai pu mettre en place quelques actions mais le constat était clair : on ne faisait rien sur notre cœur de métier. Donc j’ai voulu aller plus loin en lisant un livre blanc sur l’éco-conception. C’était pas mal obscur pour moi. Je pense qu’il faut être formé et je préfère laisser cette expertise aux gens qui savent faire ! En ce moment j’essaie de comprendre les méthodes de calculs sur la consommation des serveurs, des bases de données, etc. Qu’est-ce que ça inclut ? Est-ce qu’on part de la conception du matériel ? Tout cela me passionne !
Bref… donc j’ai pu mettre en place quelques actions mais le constat était clair : on ne faisait rien sur notre cœur de métier. Donc j’ai voulu aller plus loin en lisant un livre blanc sur l’éco-conception. C’était pas mal obscur pour moi. Je pense qu’il faut être formé et je préfère laisser cette expertise aux gens qui savent faire ! En ce moment j’essaie de comprendre les méthodes de calculs sur la consommation des serveurs, des bases de données, etc. Qu’est-ce que ça inclut ? Est-ce qu’on part de la conception du matériel ? Tout cela me passionne !
Quel lien fais-tu entre éco-conception et agilité ?
A vrai dire je ne sais pas si le terme agilité est encore bon… il est un peu galvaudé. En tout cas, ce qui reste valable dans le concept de l’agilité c’est l’empirisme, le droit à l’essai, les notions d’itérations et d’incréments pour adapter les produits aux besoins de l’utilisateur et aux évolutions contextuelles.On va devoir s’adapter aux changements, à ce qui va nous arriver dans les années à venir. On l’a vu avec le covid, on a pu by-passer des processus très lourds pour sauver des vies. Tant qu’on n’est pas au pied du mur, on ne sort pas de notre zone de confort. Je suis persuadé que les mécanismes de l'agilité peuvent nous servir. Ce sera subi quand-même mais on aura des savoirs-faire !
Par ailleurs, les gens sont en quête de sens. Les apports de l’agilité permettre de chercher du sens et de donner de la valeur. Il y a le volet amélioration de l’image de l’entreprise aussi. En prenant en compte les dimensions environnementales et sociales, on améliore cette image et on permet aux collaborateurs de mieux s’épanouir. Et enfin, il y a les normes et lois sur l’environnement. La dernière sur le bilan extra-financier est intéressante. Il va falloir un peu de temps avant qu’elle soit appliquée mais si c’est suivi alors toutes les entreprises vont devoir se bouger ! L’agilité fait sens ici aussi pour s’adapter et itérer.
Agilité, design thinking, design sprint… tout ça fait partie de la même philosophie. Chacun s’est approprié les concepts et valeurs sous-jacentes à sa manière. On les retrouve depuis l’Antiquité, ça ne date pas d’hier ! Le bon sens, on ne peut pas le généraliser ! En revanche, c’est un mode de fonctionnement pour lequel nous ne sommes absolument pas formés tous petits.
Mais j’aimerais créer une offre de R&D sur la question du lien entre agilité et éco-conception. C’est un sujet que j’ai envie de développer pour tisser des liens et créer des outils de priorisation adéquats aux défis actuels. J’ai déjà eu quelques feedbacks entre autres par des collègues agilistes. L’idéal serait de pouvoir expérimenter avec un ou deux clients ! Sans parler d’un framework agile en particulier, je pense que chacun a un rôle à jouer :
Agilité, design thinking, design sprint… tout ça fait partie de la même philosophie. Chacun s’est approprié les concepts et valeurs sous-jacentes à sa manière. On les retrouve depuis l’Antiquité, ça ne date pas d’hier ! Le bon sens, on ne peut pas le généraliser ! En revanche, c’est un mode de fonctionnement pour lequel nous ne sommes absolument pas formés tous petits.
Mais j’aimerais créer une offre de R&D sur la question du lien entre agilité et éco-conception. C’est un sujet que j’ai envie de développer pour tisser des liens et créer des outils de priorisation adéquats aux défis actuels. J’ai déjà eu quelques feedbacks entre autres par des collègues agilistes. L’idéal serait de pouvoir expérimenter avec un ou deux clients ! Sans parler d’un framework agile en particulier, je pense que chacun a un rôle à jouer :
- Le product owner dont l’un des objectifs doit être la priorisation par la valeur, notion à redéfinir ainsi que ce qu’elle comporte comme critères de sélection,
- Les UX designers qui doivent être attentifs à l’architecture de la page, au nombre de clics, etc.
- Les designers, développeurs, etc. qui doivent penser éco-conception et insérer les calculs et statistiques requis, penser au refactoring du code, au nombre de requêtes…
- Le scrum master qui aide l’équipe à mettre tous ces axes en cohérence et à remonter les feedback utilisateurs, qui accompagne l’équipe à favoriser la mise en place d’indicateurs d’usage et d’efficience : satisfaction utilisateur, pourcentage dette technique…
- L’utilisateur qui doit être présent à chaque étape de la construction du produit pour répondre aux questions, donner son feedback et orienter l’équipe pour définir les prochaines priorités…
Elyezer DUCROS
Peu importe les personnes qui portent ces rôles. Chacun peut et doit avoir un apport sur la dimension environnementale. Ça implique de travailler sur la valeur, pas uniquement financière et pas uniquement pour l’humain. Cela implique aussi de s’interroger sur le lien entre feedback utilisateurs et calculs de l’usage des fonctionnalités : est-ce que les deux sont corrélés ? que peut-on améliorer ? que doit-on laisser tomber ?
Chez les développeurs, on trouve un manifeste minimaliste qui parle de la loi de Pareto. Si je simplifie : avec seulement 20% des efforts je satisfais 80% des besoins, alors que lorsque l’on développe 80% des fonctionnalités on n'aura peut-être que 20% des personnes qui les utiliseront. Est-ce que mon produit va servir 20 ou 80% des besoins utilisateurs ? Est-ce que j’adresse un besoin fondamental ? Est-ce que je suis inclusif ? Accessible aux personnes en situation de handicap ou de précarité ? Est-ce que je ne suis pas discriminant pour aucune population ? etc. Toutes ces questions portent autant sur la simplicité et le fondamental que sur l’accessibilité. Prendre en compte tous ces critères n’est pas évident mais au sein d’une équipe pluridisciplinaire on peut compter sur le partage et les compétences de chacun pour répondre à ces questions.
As-tu déjà ou imagines-tu des outils pour y parvenir ?
Ce serait très utile d’avoir un canevas avec le type de questions dont on vient de parler. C’est pour cela que j’ai commencé à travailler sur une vision avec le modèle FIER :Elyezer DUCROS
Les équipes doivent se poser de nombreuses questions clés autour du besoin pour l’utilisateur et pour la planète, la simplicité de la solution, son caractère inclusif, sa performance et sa durabilité, la disponibilité de toutes les expertises nécessaires, etc. Le "R" du modèle est à retravailler car "ROI" est très connoté financier / économie. On pourrait dire "rentabilité" mais cela reste connoté aussi ! Même s’il faut que les directeurs d’entreprises s’y retrouvent ^^ on doit réellement aller vers une notion de rentabilité plus globale et incluant le retour vers la nature.
L’une de nos sources d’inspiration c’est Radical Agile. Dans la version courte du manifeste, ils ont écrit en quoi l’agilité peut et doit servir l’environnement et le social en étoffant deux des valeurs du manifeste agile. Et justement j’ai eu l’occasion de découvrir un exemple à Agile Toulouse en participant à un atelier sur les OKR (Objective Key Results). C’est une façon de définir ses objectifs et une manière d’évaluer en quoi on les a atteint. Les animatrices de l’atelier nous ont partagé l’exemple de l’un de leurs clients qui avait souhaité mettre un pré-requis au projet : une contrainte environnementale pour tous leurs OKR !
Si on en revient aux outils, j’ai animé une présentation sur l’agilité et le green IT ouverte également à l’externe. On commence à avoir des choses, des bonnes pratiques en termes d’éco-conception sur la partie technique. Mais côté produit / ownership, je n’ai pas vu grand-chose. J’ai réfléchi à ce qu’était un produit plus vertueux, "simple et fondamental" thématique du dernier Agile Tour à Toulouse. Je pense qu’il faut des formations pour tout le monde ! Nous sommes toutes et tous en quête de sens.
Mieux former les facilitateurs, entre autres, permettra de re-donner du sens à nos projets et d’aider l’équipe à aller vers ce type d’objectifs ! Cela demande beaucoup de communication et de collaboration et non une injonction de l’un ou de l’autre. Il faut réfléchir tous ensemble en prenant en compte tous les critères tout au long des étapes du processus.
Le plus dur sera d’arbitrer entre tous ces critères. On doit travailler sur des grilles de priorisation et de décision.On doit définir ce que chacun entend derrière le mot valeur : UX, RGPD, RGAA, RGESN, besoins cyber… il faut pouvoir arbitrer. Il faut aussi responsabiliser l’utilisateur, lui poser des questions en adéquation avec l’environnement et le social. Est-ce qu’il veut toujours autant telle ou telle fonctionnalité ? Sans le culpabiliser… mais en le sensibilisant ! L’humain s’attache, on le dit à propos des objets mais ça vaut aussi pour les données, l’applicatif, etc. On est sentimentaux ^^.
Qu’en pensent les équipes que tu accompagnes ?
Au sein du pôle agile que j’accompagne, je leur ai expliqué lors d’une conférence en quoi chacun a son rôle autour de l‘éco-conception dans une équipe agile. J’avais l‘impression d’enfoncer des portes ouvertes mais finalement pas du tout. Ce n’était pas évident pour eux. Tout cela reste encore très nouveau. Comment agir en tant que PO (Product Owner), en tant que facilitateur, en tant que designer ou développeur face à ces problématiques ? Pour une autre conférence qui parle d’intrapreneuriat éco-citoyen, je parle de communication et des 5 étapes du changement. Il faut s’adapter à son étape à lui (l’utilisateur) et l’amener vers l’étape suivante.Elyezer DUCROS
Dans mon quotidien de coach agile, c’est un sujet encore peu abordé. La priorité n’est pas encore donnée à des sujets environnementaux ou en tout cas pas à toutes les échelles. Pour le moment chaque entreprise s’attache à mesurer quelle partie de leur service a un impact carbone important afin d’agir surtout dans ces domaines. Très souvent, ils s’agit des chiffres au niveau du hardware car cela inclut l’extraction des matériaux. Tout dépend de la façon dont est effectué le calcul et ce que l’on prend en compte pour un site ou une application : prend-on en compte le poids du hardware sur lequel il s’appuie ? Actuellement non.
Connais-tu l’éco-conception de services (pas que numérique) et quel lien fais-tu avec tout cela ?
Il est difficile de définir ce qu’est un service : où est-ce que le service commence et ou est-ce qu’il s’arrête ? Personnellement j’essaie de montrer une vision d’ensemble à l’équipe pour recentrer ensuite sur son activité en lui faisant comprendre les tenants et aboutissants. Par exemple, l’utilisateur qui vient chercher ses courses au drive : l’équipe ne l’a pas en visibilité si elle développe l’application qui permet au magasinier de préparer ses commandes sur sa tablette. Pourtant il sera directement impacté si l’application ne fonctionne pas. L’application n’est qu’un maillon de ce service à destination d’un utilisateur final qui n'est autre que le client. Au-delà de rendre l’application efficiente pour le magasinier et/ou pour l’environnement, tout le service nécessite d’être analysé : est-ce que le drive est idéalement situé pour limiter les kilomètres effectués par les particuliers dans leur véhicule personnel ? Est-ce que le drive est la meilleure solution ? etc. C'est là que le design systémique et le design de service interviennent.Donc oui tout est lié selon moi et c’est important de raisonner de manière globale. Si on a une prise de décision centralisée, on se prive des expertises de chacun pour designer une solution qui répondra vraiment au besoin.
« Je veux faire mes courses au drive » n’est pas un besoin, c’est une solution ! Une fois qu’on est revenu au besoin initial et qu’on l’a challengé, toute l’équipe au sens large peut imaginer une solution de service viable.
Sans m’étendre sur le sujet je constate également qu’on augmente souvent la complexité d’un produit ou d’un service au fur et à mesure du temps sous couvert d’amélioration continue. En réfléchissant à ce qui ne marche pas, on va essayer de mettre un pansement plutôt que de traiter la cause racine. Par exemple, si les clients abiment tout le temps leur voiture en sortant du drive parce que la conception n’était pas adaptée, on va ajouter un écriteau « attention à la bordure » et des banderoles réfléchissantes plutôt que de modifier l’aménagement... C’est important de réfléchir en amont lors de la création du service mais également important de savoir dire stop ça ne marche pas... et de refaire !
Un dernier mot ou une phrase que tu veux que l’on retienne ?
Lors de ma dernière conférence pour tuer le débat à la fin j’ai utilisé une citation qui vient du Dalaï-Lama à la base mais réécrite depuis par Anita RODDICK : « Si vous pensez que vous êtes trop petit pour avoir de l’impact, essayez d’aller au lit avec un moustique ».
La décision est à la maille de l’entreprise et des décideurs mais nous avons tous un rôle à jouer. Il ne faut pas le minimiser, on a tous voix au chapitre et de plus en plus !
Les entreprises font face à des départs en masse de leurs collaborateurs en perte de sens. On ne mesure pas encore l’impact et les pertes que cela représente pour l’entreprise. Il est sain de se renouveler mais il faut maîtriser le taux de turnover, l’expérience et les parcours RH. Par ailleurs, beaucoup de jeunes font des études mais ne veulent pas travailler dans des entreprises trop polluantes ou qui sont liées à des affaires de sexisme ou financières… Même des événements commencent à refuser l’entrée à ces entreprises !
Mais sur le volet budget, tant que nous ne serons pas sortis de cette logique financière ça ne marchera pas. La définition et la répétition de budgets d’année en année, l’incitation au gaspillage, etc. Et cela malgré des injonctions contradictoires dans lesquelles on nous demande de prendre en compte l’environnement tout en respectant des engagements de coûts, de délais et de marge. C’est bien d’essayer de changer les choses de l’intérieur ! Il faut se battre chacun à notre niveau et tous ensemble !
Liens utiles et sources :
- Le site de Klanik
- L’article de beewö sur besoin vs. envie
- Le prochain challenge de Ma Petite Planète
- Le site de la Ligue de Protection des Oiseaux
- Le réseau FEVE
- Des informations sur Agile Toulouse
- Le MiSE - Manifeste évoqué par Elyezer dans l'interview
- Les 5 étapes du changements : Prochaska et DiClemente
- Les infos sur l'agilité radicale
- Une source qui résume le livre blanc de Laurence Wolff et Tiphanie Vinet sur les OKR
Infos utiles :
Photo d'entête créée par beewö.
Photos dans l'article fournis par Elyezer DUCROS.Illustrations réalisées par Elyezer DUCROS.